En l’absence de mon mari, je m’offre des plaisirs particuliers, personnels avec mon amant. Il vient chez moi, et on fait l’amour. Je l’ai toujours soupçonné d’avoir un œil sur ma bonne, mais sans plus. C’est normal, parce qu’à chaque fois qu’il passait ses mains sur ma poitrine, et emprisonnait mes seins, dans le creux de sa main, tout ce dont j’avais envie, c’est qu’il me prenne. J’en oubliais un peu, tout autour de moi.
Tout ce que je voulais, c’est qu’il me baise, comme il l’avait baisé
Donc, un mardi, où il devait passer, j’étais sorti m’acheter un dessous, que je voulais porter pour l’émoustiller un peu plus. Je m’empressais de rentrer chez moi, car je savais qu’il m’y attendrait. Quand j’arrivai chez moi, je me suis précipitée vers la chambre d’ami où on couchait souvent ensemble. J’entendais des gloussements au loin. Je m’y avançai donc sans faire le moindre bruit. C’est sans doute bizarre, car ce que je vis, au lieu de m’énerver, m’excitait au plus haut point. Je voyais mon amant, qui labourait soigneusement le corps de ma bonne.
Elle, avec, ses petits seins bien ronds et fermes, adoraient ça. Je l’entendais lui demander, de vite terminer pour qu’elle s’en aille avant que je ne rentre. J’étais partagée, mais trop excitée, pour interrompre cette scène que sans nul doute j’appréciais. J’étais donc là à contempler, quand ils finirent, et qu’elle quitta la pièce par la porte qui menait vers l’arrière cours. C’est là que je me repris, et que j’entrai finalement dans la chambre. Sans aucun mot, sans rien, je sautai sur lui. J’étais trop excitée, trop bien cuite par la scène qui s’est déroulée sous mon nez, que je n’ai pu rien dire. Tout ce que je voulais, c’est qu’il me prenne, c’est qu’il me défonce comme il l’avait défoncé elle.